Sépulture N église dans Nassogne
La collégiale Saint-Monon, merveilleuse construction, est érigée tout comme le Parthenon, en Grèce, et la Maison Blanche aux Etats-Unis selon le chiffre d’or: rapport constant entre la longueur et la largeur de quoi que ce soit: grande nef, petites nefs, transept, chœur,... de valeur 4/3. À notre époque la TV est encore basée sur ce nombre d’or: 4/3 ou 16/9 ( 4/3-4/3).
Bombardée le 3 janvier 1945, par les troupes américaines basées à Aye (10km), la Collégiale perdra le pan droit côté nord et sa voûte s’effondrera en partir. La Collégiale sera restaurée et ouverte pour le Noël 1949 à l’heure du doyen Alaime.
Cinq civils perdront la vie lors de ce bombardement ou à sa suite.
Source «Surnoms et sobriquets Nassogne. Joseph Bily, 2011 »
Saint Monon naquit en Ecosse, vers l’an 600, d’une famille riche et puissante. À cette époque, les druides et les ministres des cultes du Nord avaient repris leurs fonctions dans presque tous nos villages, et l’on retrouvait partout des autels de pierres brutes, des fontaines sacrées, des religions antiques, y compris celle d’Ysis et de Freyr, auxquels on immolait les prisonniers et les vieillards...
Il est à présumer que les six autels druidiques ou odiniques de Forrieres, en silex brut, composés de deux pieds droits et d’une large table ont été renversées à cette époque.
Le 18 octobre 645, selon le martyrologe publié en 1727, Monon fut assassiné pendant qu’il était en oraison. Il fut la dernière victime immolée par la jalousie des druides au dieu Freyr. Une chose est sûre, en l’an 636, Monon est dans le village actuel et est mort en 645. De suite Jean L’agneau ordonné le construction d’une église, élevée au rang de Collégiale avec chapitre vers 750.
La vie de Saint Monon, lue le jour de sa fête, le 18 octobre, date de la fin du xè siècle. Un inventaire de 1304, signalé entre autres objets précieux: quatre livres sur la vie de Saint Monon.
La cérémonie des Remuages est organisée reprise dans un record du 1er août 1536. Un manuscrit du XVIIè siècle fait état du pouvoir surnaturel de Saint Monon. Il est invoqué pour tous les maux, mais particulièrement , ceux qui arrivent aux « bestes ».
La confrérie de Saint-Monon érigée à Nassogne sous Gregoire XV ( 1621-1623) par autorité du prince-évêque de Liège perdra de son aura, mais sera rétablie par Monseigneur Heylen, évêque de Namur par lettre du 26 mai 1911.
Source « Surnoms et sobriquets Nassogne, Joseph Bily, 2011 »
Type(s) de sépulture | |
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Autre type ? | |
Matériaux | |
Autre matériaux ? | |
Aspect visuel | |
Aspect légal |
Sépulture Intérêt Historique Locale | Historique |
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Architectural | |
Fonction sociale | |
Aucune inscription sociale | Non défini |
Inhumation avant 1945 ? | Non |
Combattant 14-18 | Non |
Combattant 40-45 | Non |
Symbole
Chronogramme au dessus de la porte d'entrée de la collégiale.Epitaphe
CoLLegII sanCTI MononIs benefICIentia pLeneoppressa. HæC: frontIspICI erIgIt.Collégiale St Monon
VIIe siècle première construction ( Jean Lagneau )
VIIIe siècle Élévation au rang de Collégiale par Pépin le Bref
1661 Dernière construction ( chœur roman Xe siècle)
1673-1782-1948 Restaurations après incendies et guerres.
Cercle arch. et hist.
Liste des noms indiqués sur cette sépulture
Nom | Né le | Décédé le |
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Collégiale Saint-Monon |
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